Il suffira au moins d’une première fois…
Un sous-titre prometteur du livret d’Elisabeth de Fumichon, touriste française tombée en amour avec Petit-Saguenay et la région, à l’automne 2013, lors de son premier voyage au Québec.
Elisabeth de Fumichon n’est pas une grande voyageuse. C’est un concours de circonstances qui l’a amenée à se rendre au Québec, et plus particulièrement à L’Anse-Saint-Jean et Petit-Saguenay. Tout d’abord, elle a une envie folle de découvrir d’autres horizons. Ensuite, son fils travaillant à l’époque pour Air Transat en France, elle se fixe comme but d’aller au Canada.
Puis, comme par hasard, elle fait la connaissance d’une franco-canadienne qui a vécu pendant 15 ans à L’Anse Saint-Jean. C’est ainsi que se décide le premier point de chute de son arrivée au Québec où elle séjourne pendant cinq jours chez Blanche, au Gîte de la Rivière.
Elle passe les cinq jours suivants chez Clara au Gîte du Presbytère à Petit-Saguenay. Les deux femmes sympathisent et Clara entraîne Elisabeth de Fumichon à la réunion mensuelle du Cercle des Fermières. Cette dernière se reconnaît tout de suite comme une des leurs, de par les centres d’intérêts qu’elles ont en commun, dont un sujet qui lui tient particulièrement à cœur, l’alimentation.
Passionnée par l’alimentation vivante (graines germées), elle rencontre Myriam Boudreault, de Fjord en pousse, et remarque qu’ici les pois jaunes ne sont pas utilisés pour le bétail mais cultivés sous forme de graines. De retour en France, elle décide de faire de même et de les vendre sous la forme de germination ou de pousses.
C’est ainsi que commence à « germer » l’idée de rédiger un livret : les Fermières de Petit-Saguenay lui suggèrent de rédiger un récit suite à son voyage au Québec. Il s’agit de recettes de bien-être agrémentées de suggestions. D’une vingtaine de pages, illustrées en couleurs, on peut se le procurer au prix de 6 $ auprès de la rédaction du Trait d’Union.